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Mais l’excès de raison fendit "Avelor" en deux couches : "Velrone", visible mais appauvri, et "Amprestrinkel", invisible mais vibrant.
Entre ces couches, des " Treilin " tendus maintinrent la séparation ; seules les coutures pouvaient les recoller.







Elle recueillit un enfant aux cheveux argentés : Otto, silencieux, entouré d’objets mystérieux dont elle ne dit jamais tout.
À la mort d’Aëla, Otto hérita de ses artefacts mais pas des explications : seulement un vide, et un journal entrouvert.






En suivant les Présences, il apprit les gestes de la " Tréfilure " : détecter, rompre, et recoudre les liens invisibles entre les mondes.
Aujourd’hui, Otto marche entre " Velrone " et " Amprestrinkel ". Il n’est pas un héros, mais un passeur, qui rappelle à chacun que le réel peut encore s’ouvrir...

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